Dans quelques jours nous commencerons une nouvelle année liturgique, en entrant dans le cycle de Noël par les quatre semaines de l’Avent qui nous prépareront à accueillir le tout-petit de la Crèche.
En janvier on évoquera le baptême de Jésus et les noces de Cana, débuts de sa vie publique.
Puis le Carême nous fera descendre (des cendres 
) au creux de la passion du Christ pour entrer dans la résurrection la nuit de Pâques.
Ce grand mystère se déploiera dans la vie de l’Église (la Pentecôte), avec en tête la Vierge Marie, première des sauvés, puis de nombreux saints et même « tous les saints » le 1er novembre.
Voici résumée en quelques mots la dynamique du Salut que la liturgie nous fait vivre au fil de l’année. Elle s’achève avec la fête du Christ Roi de l’univers.
On y célèbre le triomphe final de Jésus dans toute la création visible et invisible, en vertu de son offrande et de sa résurrection. Bien sûr, la royauté du Christ ne ressemble pas aux nôtres. Il a pour couronne des épines, pour trône une croix, pour premier sujet un larron… Un règne où le roi se fait
serviteur et où les serviteurs sont couronnés.
Vive ce Roi !
Père Amaury, curé !
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