« Le sacrement des malades est destiné aux fidèles dont la santé commence à être dangereusement atteinte par la maladie ou la vieillesse. »

(Rituel n°57)

sacrement_maladesAutrefois, il s'agissait de «mettre le mourant en règle», faire ce qu'il fallait, donner le sacrement même dans l'inconscience.

Aujourd'hui, depuis Vatican II, l'attitude de l'Église s'est modifiée.

Les sacrements sont une rencontre entre Dieu et l'Homme, tout au long de sa vie.
Il n'est donc plus nécessaire d'attendre d'être inconscient, ou au seuil de la mort, pour recevoir le sacrement des malades.

C'est pourquoi l'Église a repris l'antique usage de faire une onction d'huile sur les malades.

Le sacrement appelé aux 19e et 20e siècles «extrême onction» est redevenu «l'onction des malades» signifiant par làle soutien du Christ durant la maladie.

Le prêtre intervient aussi par l'imposition des mains : en posant les mains, en silence, sur la tête du malade, le prêtre appelle sur lui la force de l'Esprit qui «adoucit et rafraîchit, apporte le réconfort et guérit ce qui est blessé» (Hymne de la Pentecôte).

Le prêtre qui accomplit ce geste a d'ailleurs reçu lui-même ce pouvoir par un geste analogue, lors de son ordination par l'évêque.

Le sacrement des malades peut apporter beaucoup, et sur bien des plans, à la personne qui le reçoit dans la Foi. Toute personne qui le souhaite peut demander le sacrement des malades pour elle-même ou pour une personne de son entourage.

S’adresser à : l’un des prêtres ou à l’équipe de la Pastorale de la santé                                                  


À l'initiative de la Pastorale de la Santé, une messe mensuelle est organisée dans chaque maison de retraite où le sacrement des malades est administré aux pensionnaires qui le désirent :

Résidence Isatis (Vernouillet)
Clos des Priés (Vernouillet)
Résidence Clémenceau (Verneuil).


N'oublions pas ceux qui ne peuvent se déplacer. À leur demande, un prêtre s'est rendu chez eux pour célébrer, accompagné de tel ou tel membre de la  Pastorale de la Santé

«Dans chacun des cas, nous avons senti beaucoup de recueillement et d'humilité» nous a dit Bernard.

Avec lui, accueillons en nous l'Esprit Saint et réjouissons-nous de tous les bienfaits que cela engendre.

Exhortations finales de l'Épître de St Jacques 5,12-17    à lire